Prêteurs de mots
Les voix des hommes, sourdes et lointaines
M’évoquent une colère souveraine
Les larmes froides d’une arme
La peur de celui qui va perdre son âme
La joie arrogante de cette femme blonde
Mon amour la suit jusqu’au bout du monde
Le chuchotement doux de ce souvenir
La nostalgie qui me fait souffrir
La peur envahissante d’être incompris
La solitude est mon ennemi
La rage d’un guerrier qui se bat pour sa survie
Faire face à cette réalité et se dire que c’est la vie
L’amour ressort et fait place à la haine
Mais on se bat chaque jour
Pour être aux côtés de ceux qu’on aime
Le rire éclatant d’une fille
Sa joie que j’envie
Son regard mystérieux de l’ombre
La peur qui plane dans cet endroit sombre
La voix douce de cette fille
La joie de parler de sa vie
La solitude qui me trahit
La fidélité qui les unit
Toute la haine qui m’entoure
N’est que le signe de l’amour
Un petit problème à résoudre
A cause d’un léger coup de foudre
La tristesse de quitter mon cher Valentin
Prend le dessus sur le bonheur du lendemain
Le doux regard clairvoyant de mon bien-aimé
Cette tendresse incroyable qui est tant convoitée
Depuis, je crois vraiment être ensorcelé
La protection d’une mère
L’amour dont je me sers
Les pleurs incessants de mon cœur
La peur que n’arrive mon heure
L’odeur alléchante de mets
L’envie qui en moi doucement naît
Le rire joyeux d’une jeune demoiselle
L’amour qui grandit chaque jour un peu plus en elle
La mort brutale de cet être si cher
La solitude m’envahit en un éclair
Le grand sourire de son visage
L’amour qui éclaire tous les âges
Les rires moqueurs de ses filles
L’amitié qui sur leurs visages brille
Le rêve de Fred est long et dur
Comme la nuit qui tombe de bonheur
La douleur m’envahit de peine
L’amour me donne de la haine
Les larmes envahissent mon corps
La tristesse déborde de désaccord
La voix douce de mon amie
La joie qu’elle ressentit
Les yeux scintillants de bonheur
C’est son amour qui sèche mes pleurs
Le voile nostalgique tomba un soir
La solitude, je l’aperçois
Le joyeux bonheur abandonne mon cœur
En me laissant une part de stupeur
Mon cœur désarmé est en pleurs
Triste fleur qu’est le bonheur
Ce rêve imaginé s’évanouit maintenant
Ses sentiments pour moi ne sont plus grands
Le nuit finit, la nostalgie revit
Cette mélancolie hante ma vie
Cette nuit je transpire
L’envie de revivre
La lune m’éblouit
Le soir, d’admirer la lune
Mon âme tendre s’en va sans amertume
Guillaume
Le dégoût de voir ce Tiers Monde
Quand la joie est de l’autre côté du monde
Tes regards m’attristent de jour en jour
Ton amour m’empoisonne, mon amour.
La transparence de ces yeux bleus
Un bonheur qui m’est malheureux.
Je me rappelle toutes ces images
Les souvenirs de lui et des orages.
Le retrouver est indispensable
D’y songer, mon cœur s’emballe
Le ciel envahi par les étoiles
Représente pour moi
Toute la passion que j’ai pour toi
Gravée sur une toile
Le sourire de cette fille m’éblouit
Comme si cette relation était acquise
La vie est un triste récit dont je ris
Je n’arrive plus à en trouver la sortie
Ton visage reflète la beauté du soleil
Comme le butinement d’une abeille
L’amour change,
Les temps changent
Une demande en mariage juste pour toi, mon ange
